Parmi les couvertures de chroniques publiées sur le site « Les Lettres d’ivoire », certaines relèvent de l’autoportrait. L’auteur virtuel s’y retrouve, de par sa vie, de par ses pensées et méditations, de par ses souvenirs. Et parfois de ses rêves. Chaque autoportrait mériterait de longues digressions comme ce coquelicot qui évoque la Première guerre mondiale, le plus grand et le plus imbécile des feux d’artifice qui a duré quatre ans et enseveli des millions de jeunes êtres humains ; l’horreur du coquelicot dissimule la douceur de la lavande qui rappelle à l’Auteur virtuel des jours heureux passés en Haute-Provence en sa folle jeunesse, jours qui ne sont plus que souvenirs d’une immense tristesse et beauté, difficile d’imaginer qu’ils ne reviendront pas et pourtant ils sont toujours là.
Le pont romain
Le cimetière des éléphants
Que se lèvent mille bérets, foulards et turbans
Le Marignan de la langue française
Natya Shastra
La filleule de la reine Victoria
Les aviatrices
Journée de la femme (La lectrice)
Un peintre en herbe
Squelettes dans un bureau
Back in CCCP
Khatchkars à Edjmiatzin
Le rhinocéros iguane
L’hippopotame du marais
Le lion de Saint Marc, basilique haute d’Assise
Noix d’Arménie posées sur une table
Tant d’autres couvertures pourraient figurer ici. On s’en tiendra là.