Refuges et terres d’asile

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Il est des lieux où se réfugier qui sont des terres d’asile idéales, surtout lorsque nous sommes francophone et que nous tenons à le rester. La langue française n’est pas qu’une langue vernaculaire depuis le concile de Tours de mai 813 qui imposa d’utiliser la langue romane pour les sermons dans la liturgie latine afin que les paroissiens puissent comprendre, devançant François 1er en 1539, qui oblige tous les tribunaux du Royaume à recourir à la langue française dans tous les actes juridiques.

Le français est d’abord un art de vivre universel, et partout où l’on peut s’exprimer en français, on peut se réfugier. Il existe cependant des terres d’asile plus accueillantes, façonnées par la géographie et l’histoire des hommes. En voici quelques exemples.

Au delà de cet art de vivre, il nous appartient en toutes circonstances de veiller à ce que notre terre soit lieu de refuge et d’asile pour tous les hommes qui souffrent, quelles que soient leur nationalité ou leur religion.

Sur les bords de l’Asse au milieu de Russes blancs

Se réfugier près d’un monastère en ruines

Le Camino Francés vers Compostelle

A Chicoutimi, chez nos amis du Québec

Au Queyras, en compagnie des marmottes

A Liège, terre d’asile idéale

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