
En attendant le rétablissement du cheval fourbu
Même s’il est possible d’écrire un roman au rythme de trois à cinq mille signes à l’heure selon l’humeur, et que l’imagination ne faiblit pas après avoir puisé quarante à soixante mille signes dans la journée, il est possible de partager alors le sort de Balzac qui se coucha sur le flanc, un jour, tel un cheval fourbu. D’où le divertissement d’écrire des chroniques appelées à paraître sur le site des Lettres d’Ivoire, qui ne sont que sont que la poursuite des travaux antérieurs lors de la rédaction du Cycle des lettres d’ivoire, devenu Voyage aux sources du monde.
Ces chroniques paraissent sans ordre de publication prédéfini, comme elles naissent et viennent au monde, piochant parfois dans d’inépuisables réserves qui, un jour, resurgiront dans un grand désordre, à remettre dans l’ordre des choses.
Dans les dédales et labyrinthes d’un prieuré
Il est difficile à l’auteur principal de passer beaucoup de temps à écrire ces chroniques, confiées à des intervenants spectraux secondaires. Après six ans d’écriture des chroniques par l’Auteur virtuel, leur rédaction et publication viennent d’être confiées à Franche Pistole et un moine rieur, qui traînent dans les dédales et labyrinthes d’un ancien prieuré en cours de remise en état.
Les chroniques publiées en grand désordre depuis janvier 2015, sont accessible par le bandeau vertical en colonne de droite, mais aussi en bas de pages, avec de nombreux accès possibles : articles populaires ou récents, rubriques, mots clefs, sans oublier le bandeau horizontal en haut de site, qui contient la formule magique des travaux de l’auteur, un classement invisible de A à Y, ay.