Même s’il est possible d’écrire un roman au rythme de trois à cinq mille signes à l’heure selon l’humeur, et que l’imagination ne faiblit pas après avoir puisé quarante à soixante mille signes dans la journée, il est possible de partager alors le sort de Balzac qui se coucha sur le flanc, un jour, tel un cheval fourbu.
