Entre deux articles d’humeur pluvieuse, un peu de vie fait du bien de temps en temps. Ce très bref article est dédié à Nadine Morano qui nous rappelle que la bêtise n’a pas de couleur, d’âge et de sexe.  Qu’elle soit idiote est une chose, c’est son droit après tout et elle n’est pas la seule ou le seul, la compétition est rude, sérieuse et serrée.

Mais que cette malheureuse perdue dans un monde qui change,  invoque de Gaulle à tort et à travers est insupportable en citant des propos rapportés après sa mort ce qui est pratique surtout quand l’auteur de ces supposés propos rapportés, un certain Alain Peyrefitte, n’est qu’un grand manipulateur de l’histoire aux grandes oreilles, qui fut contraint lors des événements de mai 1968 à la démission de ministre de l’éducation par le Premier ministre d’alors Georges Pompidou qui lui reprochait de n’avoir cessé d’exacerber inutilement les tensions avec les étudiants. Ceux qui se souviennent de ce bonhomme se rappellent qu’il était un grand égotiste, prétentieux et méprisant qui se vantait de réciter toute la poésie française en se rasant et se lavant les dents le matin, un champion du monde de la forfanterie.

Alors, oublions tous ces gens qui vous gâchent la vie, et à propos de vie donnons la parole à Paul McCartney et Mickael Jackson avec une version vidéo renouvelée de Say, Say, Say qui est une ode à la vie et à la jeunesse d’aujourd’hui dans toute sa diversité. Que voulez-vous, on ne se refait pas, la protection des coccinelles nous occupe toute la journée, ce n’est pas une mince affaire surtout quand on voudrait que nos enfants puisent continuer de les trouver dans la nature dans vingt ans et plus.

Allez, musique les enfants ! enfin, peut-être, car en matière d’intégration de vidéo l’auteur virtuel n’est pas toujours très au point. Personne n’est parfait.