La machine est le rédempteur de l’humanité

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Etre Français n’est pas donné à tout le monde, heureusement pour l’humanité bienveillante. C’est une occupation rageuse, tapageuse et outrageuse à temps complet, ce qui explique qu’entre creuser le déficit et entomer la banquise, il ne reste guère plus de temps à consacrer au travail : la France est le seul pays au monde qui se vante d’avoir inventé les RTT, un acronyme curieux correspondant à Réduction du Temps de Travail mais qui signifie en réalité NRF, non pas le sigle de la Nouvelle revue française que plus personne ne lit depuis que Proust et Gide ont passé l’arme à gauche, mais Ne Rien Foutre, le sport national des Français qui y excellent à l’échelle universelle, en avant-garde extra-lucide des ambitions de paresse.

charlie chaplin

Car c’est la deuxième caractéristique du Français, là où les autres peuples cultivent leur potager ou irriguent leur désert, le Français prétend pouvoir donner des leçons à la terre entière au nom d’une Déclaration universelle des droits de l’homme que personne ne leur a réclamé.  Le seul ennui de cette déclaration tapageuse est qu’elle a oublié le Droit à la paresse, arrivé trop tard.

Analyse d'une séquence des Temps modernes de Charlie Chaplin - [Petit bazar de connaissances]

Plus personne ou presque ne lit le manifeste de Paul Lafargue, le gendre de Karl Marx. C’est furieusement dommage. En ces temps de crise économique et sociale, c’est peut-être le seul ouvrage qu’il faut lire, il y a du génie et des intuitions confondantes d’actualité sur la mondialisation et le capitalisme bourgeois, loin de la caricature laissée par un titre qui travestit, hélas, l’intelligence et l’acuité du manifeste. On savait alors écrire avec incision et force. Paul Lafargue le prouve. Tout le livre ou presque est susceptible de donner lieu à citations, l’auteur n’hésitant pas à en appeler aux philosophes et historiens de l’Antiquité pour renforcer ses thèses.

Une petite histoire du roman - épisode 5 : la modernité - http://www.plume-escampette.com/enligne/blog/petite-histoire-du-roman-episode-5-la-modernite/

Même le Christ, dans son discours sur la montagne, est appelé à conforter charitablement le droit à la paresse, pour souligner que le travail est une hérésie :  Contemplez la croissance des lis des champs, ils ne travaillent ni ne filent, et cependant, je vous le dis, Salomon, dans toute sa gloire, n’a pas été plus brillamment vêtu.

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Aristote, lui-aussi, est appelé à la rescousse  pour renforcer la démonstration : si chaque outil pouvait exécuter sans sommation, ou bien de lui-même, sa fonction propre, comme les chefs-d’œuvre de Dédale se mouvaient d’eux-mêmes, ou comme les trépieds de Vulcain se mettaient spontanément à leur travail sacré ; si, par exemple, les navettes des tisserands tissaient d’elles-mêmes, le chef d’atelier n’aurait plus besoin d’aides, ni le maître d’esclaves.

La forge de Vulcain - Velasquez

La forge de Vulcain, tableau de Velasquez

Entretemps, Lafargue nous a rappelé aussi que l’agriculture est … la première manifestation du travail servile dans l’humanité. Selon la tradition biblique, le premier criminel, Caïn, est un agriculteur.

fogg museum Cain and Abel Moutier-saint Jean

Caïn et Abel, chapiteau du palais abbatial de Moutiers Saint-Jean, Semur en Auxois, collection du Fogg Art Museum, université d’Harvard à Cambridge, Massachusets, USA

Côté temps de travail, Lafargue souligne encore comment « la réforme religieuse et la libre pensée philosophique n’étaient que des prétextes pour la bourgeoisie jésuite et rapace d’escamoter les jours de fête du populaire » : Sous l’Ancien Régime, les lois de l’Église garantissaient au travailleur 90 jours de repos (52 dimanches et 38 jours fériés) pendant lesquels il était strictement défendu de travailler. C’était le grand crime du catholicisme, la cause principale de l’irréligion de la bourgeoisie industrielle et commerçante. Sous la Révolution, dès qu’elle fut maîtresse, elle abolit les jours fériés et remplaça la semaine de sept jours par celle de dix. Elle affranchit les ouvriers du joug de l’Église pour mieux les soumettre au joug du travail. La haine contre les jours fériés n’apparaît que lorsque la moderne bourgeoisie industrielle et commerçante prend corps, entre les XVe et XVIe siècles. Henri IV demanda leur réduction au pape ; il refusa parce que « l’une des hérésies qui courent le jourd’hui, est touchant les fêtes » (lettre du cardinal d’Ossat). Mais, en 1666, Péréfixe, archevêque de Paris, en supprima 17 dans son diocèse. Le protestantisme, qui était la religion chrétienne, accommodée aux nouveaux besoins industriels et commerciaux de la bourgeoisie, fut moins soucieux du repos populaire ; il détrôna au ciel les saints pour abolir sur terre leurs fêtes.

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L’archevèque Hardouin de Beaumont de Péréfixe n’est pas que l’auteur de la réduction de 12 jours du nombre des jours fériés. Il est surtout connu pour avoir pourfendu les thèses du jansénisme et obligé les religieuses de Port-Royal à la soumission. Ayant l’art de plaire, il écrit à l’intention de Louis XIV une histoire du roy Henry le Grand, quatrième du nom qui longtemps fera autorité et dont Voltaire jugera : Péréfixe émeut tout cœur né sensible, et fait adorer la mémoire de ce prince, dont les faiblesses n’étaient que celles d’un homme aimable, et dont les vertus étaient celles d’un grand homme.

Le dernier paragraphe du livre est saisissant. Il pourrait avoir été écrit de nos jours plus encore qu’hier, en l’occurence 1880 alors que la révolution industrielle prend son véritable essor : Le rêve d’Aristote est notre réalité. Nos machines au souffle de feu, aux membres d’acier, infatigables, à la fécondité merveilleuse, inépuisable, accomplissent docilement d’elles— mêmes leur travail sacré ; et cependant le génie des grands philosophes du capitalisme reste dominé par le préjugé du salariat, le pire des esclavages. Ils ne comprennent pas encore que la machine est le rédempteur de l’humanité, le Dieu qui rachètera l’homme des « sordidoe artes » et du travail salarié, le Dieu qui lui donnera des loisirs et la liberté.

Dédale et Icare, détail de la mosaïque de Pasiphaé (Zeuma , Turquie )

Dédale et Icare, détail de la mosaïque de Pasiphaé, Zeuma, Turquie

Le moins que l’on puisse dire est que c’était plutôt bien vu en 1880. et qu’en 2015, on revient en arrière, à la vitesse de la mer qui monte au Mont-Saint-Michel. La loi Macron, du nom d’un petit commis du grand capital,  est à cet égard révélatrice de ce travail de sape de « détrôner au ciel les saints pour abolir sur terre leurs fêtes » et d’éloigner la France de la tradition millénaire de ne rien faire le dimanche, à juste titre !  Sous prétexte de relancer la croissance, il s’agit une fois encore d’asservir le salariat plus encore, au seul et unique profit de quelques milliardaires détenteurs d’entreprises de commerce et de luxe qui obtiennent par exemple une carte tronquée des lieux d’ouverture des commerces le dimanche à Paris sou prétexte de favoriser le tourisme. A force de chercher à écouler des flacons de parfum, des bijoux et des cravates produites en Chine, on ne fait qu’asservir la population laborieuse aux oligarques chinois pour leur permettre de venir pendant leur période de loisirs, profiter des offfres de rabais proposées dans les grands magasins détenus par des émirs, et abuser azinsi par ricochet de la détresse de personnes sous-payées qui redoutent de perdre leur travail.

Bijoux anciens / Après 1940 / Broche "abeille" or et corail. VAN CLEEF et ARPELS.

L’industrie moderne du luxe est aujourd’hui organisée pour corrompre et asservir l’humanité, loin du travail artisanal des temps anciens : ici une broche « abeille » or et corail de van Cleef & Arpels, après 1940

En matière de travail, Lafargue  a fait preuve d’un grans sens de l’anticipation. Tous ses travaux l’ont conduit à calculer qu’il conviendrait de ne pas travailler plus de trois heures par jour, tout en abolissant le salariat. Le numérique, les robots et autres objets connectés laissent penser que nous pourrions bien, un jour, nous retrouver dans une société où nous travaillerions guère plus de trois ou quatre heures par jour : les propositions de lafargue ont été faites alors que le temps de travail du prolétariat était de douze heures par jour six jours sur sept ;  : nous en sommes à sept heures sur cinq jours ; et la machine sera effectivement de plus en plus le rédempteur de l’humanité.

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La rédemption de l’humanité soumise à la loi du profit n’est pas encore pour demain ; le travail à la chaîne relèverait plutôt de la damnation

Mais pour cela, il faut que cette humanité ne soit pas maintenue dans la soumission par les oligarques communistes et autres profiteurs corrompus du système capitaliste : il est crucial aujourd’hui de se battre pour obtenir, de préférence volontairement mais si nécessaire sous la contrainte de lois et traités internationaux, la restitution des biens mal acquis ou syphonnés par les milliardaires narcissiques et sans scrupules qui se sont enrichis sans cause avec la rente des matières premières et l’accumulation de richesses financières fictives au monopoly boursier. Ils doivent absolument tout rendre ou pour le moins les reverser dans des fondations humanitaires destinées à soulager le commun des mortels. Un ou deux milliers d’hommes, oligarques asiates, émirs du golf, cow-boys texans ou illusionnistes de la Silicon Valley, ne peuvent asservir sept milliards d’hommes, comme c’est le cas actuellement. Ils mènent l’humanité à sa perte.

Les temps modernes

Paulette Godard et Charlie Chaplin dans Les Temps modernes, enfermés dans l’un de ces temples de la consommation qu’il faudrait désormais ouvrir tous les jours, dimanche et jours fériés compris

Les propositions de Lafargue ne sont cependant peut-être pas toutes à suivre même si une nouvelle fois, ces observations sont d’une incroyable actualité dans le débat public en prônant par exemple le suicide assisté lorsque la vieillesse fut venue, selon une méthode dite de la massue familiale assez originale :  Les Indiens des tribus belliqueuses du Brésil tuent leurs infirmes et leurs vieillards ; ils témoignent leur amitié en mettant fin à une vie qui n’est plus réjouie par des combats, des fêtes et des danses. Tous les peuples primitifs ont donné aux leurs ces preuves d’affection : les Massagètes de la mer Caspienne (Hérodote), aussi bien que les Wens de l’Allemagne et les Celtes de la Gaule. Dans les églises de Suède, dernièrement encore, on conservait des massues dites « massues familiales », qui servaient à délivrer les parents des tristesses de la vieillesse. Combien dégénérés sont les prolétaires modernes pour accepter en patience les épouvantables misères du travail de fabrique ! On reconnait bien là, cette massive générosité du Viking.

Depuis 1880, il est difficile de savoir si la machine nous a plus libéré qu’asservi. Elle a certes provoqué la mort du lavoir et les femmes ne descendent plus à la rivière jupes retroussées sur les cuisses pour battre le linge. Côté cuisine, la rédemption est aussi manifeste, entre le réfrigérateur, le congélateur, les pianos de cuisson et le lave-vaisselle qui fait le bonheur des grandes familles.

Le lavoir de la Fontaine (Neuvillalais, arr. de Mamers) à Neuvillalais , Sarthe.

Le lavoir de Neuvillalais dans l’arrondissement de Mamers, Sarthe 

Pour le reste, le bilan est plus mitigé. Côté transport, les progrès de l’aviation, du train et de l’automobile passionnèrent au siècle dernier, mais depuis que l’homme a mis le pied sur la lune, tout déraille ou presque. On prétend aller plus vite mais on reste bloqué dans des embouteillages sans fin pour faire un demi-tour de périphérique parisien, les trains sont bondés et les aiguilleurs du ciel traquent les pilotes  qui avalent leurs sandwichs à l’approche de la piste d’atterrissage.

Vidéo : 24 heures de trafic aérien en 2 minutes:

Résumé d’une journée du trafic aérien européen en une vue

La machine dévaste aussi la planète. Ce sont les arbres qu’on abat, les fonds marins qu’on épuise, le ciel qu’on assombrit et la banquise qui fond. La tronçonneuse a encore de beaux jours devant elle.

Indonésie déforestation changement climatique Rainforest Action Network

Déforestation en Indonésie

Du côté loisirs, si les débuts furent prometteurs avec l’invention de la photographie et du cinéma, la désillusion est grande. Les frères Lumière se sont éteints et le monde des médias est devenu fou, entre la presse déchaînée, les télévisions sanglantes, les réseaux sociaux orduriers, les journalistes imposteurs ou flatteurs et l’internet de tous les dangers à l’heure de Twitter et de la désinformation organisée et généralisée.  Il n’est donc pas certain que la machine soit véritablement rédemptrice. Elle asservit dans ses aspects sombres, plus qu’elle ne libère l’humanité.

Vue n°91 Sortie d'Usine I (le premier film) © Association Frères Lumière

Sortie d’usine, premier film des Frères Lumière, vue n°91

Tout cela n’est rien. La machine est surtout habile dans la guerre entre les hommes, complice dangereuse et monstrueuse de la folie destructrice des hommes. Pas de nazisme et de Shoah sans machines, pas d’horribles bilans dévastateurs pour la Première guerre mondiale sans la mitrailleuse, le tank et le gaz moutarde qui n’a rien d’hilarant, sans compter aujourd’hui, les missiles de croisière les bombes à fragmentation ou nucléaire quand ce n’est pas les millions de kalachnikov qui suffisent à tuer et terroriser. La machine n’est en fait que ce que les hommes en font, rédemption ou damnation. A cet égard, les campagnes de recrutement de l’armée américaine témoignent que toutes les bombes sont d’enfer.

"Give 'em hell boys! Let's Go! Join The Fight" ~ Vintage style pin-up recruiting poster.

Heureusement, machine ou pas, il reste l’auteur virtuel qui se permet de raconter n’importe quoi à sa guise, prétendant que toute la beauté du monde peut être accessible aux coeurs les plus endurcis et, à l’occasion, que les Français sont de vilains bonhommes, un peuple qui continue avec sa massue fancestrale de donner raison à l’idiot du village, le lendemain au crétin des Alpages, un autre jour à un imbécile des quartiers, sans compter qu’il n’hésite pas à approuver l’abruti de base, refusant de constater cruellement qu’il a perdu la boule à force de s’enfoncer dans une tragédie économique et sociale qui n’en finit pas, avec le déficit, les dettes, le chômage de masse quand ce ne sont pas les ferments de division et une violence exacerbée par une classe politique d’une incroyable médiocrité et vulgarité. C’est à celui qui criera le plus fort, dénoncera et menacera son prochain dans un monde où la délation appelle au crime en permanence.  Le temps des Vilains bonhommes n’est plus où ils se réunissaient pour célébrer l’amitié. Désormais, seule la haine militante anime leurs faits et gestes.

"The Boulevard Saint-Michel is connected with a literary group known as the ‘Vilains bonhommes’ (the ‘naughty fellows’ – a journalistic insult addressed against fellow poet François Coppée and taken as an honorary name). The authors met in a room on the third floor of the Hôtel des Étrangers, dining, drinking, smoking, reciting verse, and creating parodies of each other’s work and that of the Parnassiens (preferably in an obscene manner – young Rimbaud was a master in producing such rhymes).

Les Vilains bonhommes, tableau de Fantin-Latour représentant un groupe littéraire lié par le goût de la parodie, parmi lesquels figurent, à gauche de la table, Paul Verlaine et Arthur Rimbaud

Amis européens, soyez indulgents avec ces Français bouffis d’universalité. Ils sont si perdus et si fragiles qu’il ne faut pas leur en vouloir. Ils connaîtront peut-être un jour des temps meilleurs, quand les machines connectées leur permettra de retrouver le chemin de la rédemption de l’humanité à moins qu’ils ne choisissent plus probablement le chemin de la damnation en choisissant la facilité, le désordre et la division.

Marchande de soupe -Au début du XXe siècle, le photographe Louis Vert a capturé des images touchantes du "petit peuple" parisien. Des clichés en noir et blanc à redécouvrir aujourd'hui, grâce à la Société française de photographie.:

Une profession en plein essor : Les marchandes de soupe officiaient dans la rue au début du XXème siècle ; désormais on les retrouve avec les marchands de grosses ficelles dans les assemblées parlementaires et les palais ministériels.

Par exemple, côté nouvelles machines du millénaire, on pourrait imaginer un monde où les voitures sans conducteur ne laisseront personne au bord de la route, pas même les réfugiés qui traînent aux quatre coins de l’Europe leur errance. On peut encore penser qu’il est possible de leur donner des toits de fortune, des baraquements,  Nous Européens, avons construits à une époque pas si lointaine, en deux temps trois mouvements, des prétendus camps d’hébergement qui étaient en vérité des camps de la Mort : on peut bien aujourd’hui édifier des quartiers provisoires pour tous ceux qui n’ont pas de logement qu’ils soient SDF ou réfugiés. Mais la volonté humaine n’y est pas, plus particulièrement en France où la présence des étrangers est bien commode pour trouver le bouc émissaire nourrissant de violence aveugle nos égoïsmes.

Les temps modernes

Autre exemple, les capacités de nos machines à édifier des immeubles sont fort mal utilisées en cé début de millénaire. Il faut arrêter de construire des logements sociaux à grands frais qui coûtent la peau des fesses et demandent huit à dix ans pour surgir de terre. Il faut faire simple, vite et bien, voilà tout. Les Américains en quelques mois ont édifié à saint Lô une ville provisoire de six mille habitants pour reconstruire la ville rasée par les bombardements: des familles normandes qui avaient tout perdu, vécurent pendant plusieurs années, le temps de reconstruire la ville.

Les Temps modernes : photo Charles Chaplin

Accueillir des réfugiés demande tout simplement de recommencer, de manière organisée et intelligente au lieu de laisser la pauvreté s’installer à chaque coin de rue avec son cortège de drame, de souffrance et de violence. Sommes-nous devenus si monstrueusement égoïstes et paresseux intellectuellement pour ne plus s’occuper en urgence des personnes en détresse ? Les baraquements qui sauvèrent les habitants de Saint Lô du dénuement après la destruction de la ville en juin et juillet 1944, ne sont rien d’autres que les bungalows qui font le bonheurs des vacanciers dans les campings des bords de mer.

Pour apprivoiser les machines rédemptrices de l’humanité, il suffirait de cesser de se comporter en Idiot en commençant par réaliser que l’avenir nous appartient dans l’union des bonnes volontés et que le malheur collectif de la désunion n’est pas une fatalité.

Les temps modernes, The End

Dernières images du film « les Temps modernes » de Charlie Chaplin

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S’il est un livre à lire, c’est bien celui de Paul Lafargue. Hélas plus pour le pire auquel il ne faut jamais renoncer à se frotter, que pour le meilleur, absent dès lors que nous refusons de d’affranchir de la pente inexorable de la facilité qui est une tentation fort humaine.

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