Nous qui aimons l’Inde, le devons bien plus à Hergé et à Kipling qu’aux impérialistes anglais qui ,sous prétexte de « moderniser » le sous-continent indien, n’étaient préoccupés que d’exploitation de filatures et manufactures.
En revanche, nous qui avions perdu l’Inde pour ne conserver que cinq misérables comptoirs de commerce, sommes désormais à la recherche de l’Inde éternelle et secrète qui traverse les millénaires sans véritablement changer, tel le maharadjah de Rawhadjpoutalah qui, dans les cigares du Pharaon, accueille Tintin et Milou.
Voici donc Les chroniques consacrées à l’Inde éternelle
En Chine et en Inde aux pays des hommes sans femmes
Sur la passerelle du Normandie avec le maharadjah de Karputhala
Le partenariat aéronautique de défense entre l’Inde et la France
Au pays des pierres précieuses
Les Rolls-Royce des maharadjahs
Il était une fois les maharadjahs
Quand Air India élève la publicité aux sommets