Aô, Le Borgnefesse (B4)

L’auteur virtuel, après dix ans de bons et loyaux services poursuit son oeuvre, bon an mal an. Il est parfois remplacé par Franche pistole et Lemoine-(P)rieur ou encore Cheval fourbu qui oeuvrent tous auprès de Cervières, le maître des lieux numériques.

Tous veillent à continuer ce travail entrepris depuis janvier 2015 sur l’internet pour accompagner la publication de l’Oeuvre d’une vie, et s’efforcent de réfléchir un peu, de temps en temps, à l’état du monde, en toute humilité, sincérité et vérité, sans excès, calmement, suivant que le principe de la modération, est probablement une vertu, en tout cas la seule voie à suivre.

L’avantage de travailler en circonstances numériques, est de pouvoir apporter corrections, améliorations et interventions nouvelles au fil du temps. Si vous voulez suivre ce travail tranquille et serein, vos commentaires et réflexions sont bienvenues.

N’hésitez pas aussi à les solliciter pour aborder des sujets que vous aimeriez voir traiter, loin des agitations du monde. Cervières n’est pas voyant, il ne fait aucun pronostic. Il ne joue pas plus aux jeux de hasard, même s’ils croit que le hasard des circonstances et son obstination est essentiel dans l’histoire des hommes et des sociétés. Alors, tournez la roue de vos questions si vous le souhaitez. Il n’y a pas d’obligation. Frappez, il vous sera répondu, plus ou moins avec pertinence et parfois impertinence.

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Sinon, Cervières a consacré six ans de sa vie à écrire une sorte de Roman mémoriel  intitulé Voyage aux sources du monde (ASM), autrement appelé le cycle des Lettres d’ivoire, un triptyque qui comporte trois romans entrelacés: Le Maître de la Moisson, Terre sans hommes et Mille ans de solitude, ainsi qu’une quatrième partie intitulée Le supplément au voyage.

Cervières va désormais consacrer les prochaines années à rédiger des mémoires romanesques qui comportent une sorte de roman fantastique intitulé la Tempête, ayant vocation à être plus ou moins régulièrement publié en feuilleton, tout en continuant d’approfondir une somme théorique destinée à déterminer les modalités de publication en circonstances numériques, le projet OCCGIC.

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Autrement, le premier principe de base de ces publications en univers numérique est tout simple : la gratuité. Pour recevoir, y compris des lecteurs, il faut tout donner, le don étant ce qui peut sauver l’humanité des désastres qui s’annoncent.

Mais en définitive, savez-vous, ce qui est le plus difficile ? Ne pas devenir féroce, forcément féroce, atrocement féroce. Que Dieu nous garde du pouvoir des mots. Il faudrait en toutes circonstances tenter de garder la plume bienveillante, ne jamais blesser, ce qui n’est pas forcément le tempérament de l’auteur virtuel, Cervières en convient bien volontiers.

Et maintenant alors que le temps du papier s’achève, en route vers de nouvelles destinations sur les routes virtuelles.

de dion bouton

Quand soufflait l’esprit de liberté !